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Depuis la Porte de Darius, un vaste espace découvert permet d’accéder au Palais proprement dit, un bloc qui se divise en deux parties bien distinctes: au nord, la grande salle hypostyle, une architecture de tradition iranienne, dans laquelle les Achéménides introduisent la base de colonne en pierre, parfois la colonne, et au sud, la Résidence, une architecture de type mésopotamien, bloc compact de salles voûtées organisées autour de plusieurs cours.
L’ensemble palatial est installé sur une terrasse artificielle de 12 ha, dont cinq seulement sont bâtis; le reste est constitué d’espaces découverts, carrelés à l’est vers la Porte de Darius, peut-être des jardins autour de la salle hypostyle, ou encore, selon certaines hypothèses, un bassin au nord de celle-ci. Pour cette partie nord, toute proposition reste hypothétique, car elle s’est totalement effondrée, sans doute tôt après l’époque achéménide, entraînant la chute de la majeure partie du portique nord de la salle hypostyle.
À l'ouest, la construction s'avançait près du mur de soutènement, de sorte qu'elle devait être visible depuis la plaine. Offrir cette architecture grandiose au regard était sans doute intentionnel de la part de Darius.
La reconstitution de l'occupation entre les tells de l'Apadana et de l'Acropole, qui étaient reliés par une enceinte (en haut), est totalement hypothétique. La proposition d'un habitat léger, ici de type tente, veut indiquer qu'aucune trace de construction permanente n'a été retrouvée.
L'ensemble du palais proprement dit, vue en perspective d'artiste
Archives de la Maison Archéologie & Ethnologie, René-Ginouvès, JP_V03_37
© Mission de Suse. Délégation archéologique française en Iran / Daniel Ladiray