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sites archéologiques > Pasargades > les monuments

Pasargades : les monuments

Comparé à la densité des constructions sur la terrasse de Persépolis, le site de Pasargades semble vide, au point que, depuis un siècle, on a voulu y voir une capitale plus proche du camp royal, qu’entretinrent beaucoup plus tard les princes mongols, séfévides et qajars jusqu’au 19e siècle, que d’une véritable ville construite. Le petit nombre de monuments visibles en surface a fait naître l’idée chez certains archéologues d’un campement de tentes, autour de quelques monuments d’apparat, capitale temporaire d’un empire naissant. Évaluer la réalité de cette image était l’un des objectifs du récent projet de recherche sur Pasargades. Les principaux monuments en pierre, une demi-douzaine, ont été reconnus dès le 19e siècle pour les plus importants, puis étudiés par Ernst Herzfeld dès 1905, et partiellement dégagés par celui-ci en 1928. Les fouilles ont été poursuivies par la mission iranienne de Ali Sami en 1949-1955, puis complétées par la mission britannique de David Stronach entre 1961 et 1963, et soigneusement publiées par celui-ci dans un livre qui reste la référence (Stronach 1978). On trouvera un utile résumé, mais peu actualisé par les recherches récentes, dans l’Encyclopaedia Iranica online (Stronach & Gopnik 2009) ou prenant en compte celles-ci dans Benech, Boucharlat, Gondet 2012 et Boucharlat 2014. D’autres traces d’installations, en dehors des constructions conservées en surface, ou au-delà des limites supposées du site aménagé, ont été notées par Herzfeld, mais n’ont pas été exploitées jusqu’à ces dernières années.

LA PLATEFORME ET L'ENCEINTE POLYGONALE

Cyrus a fait construire les murs de soutènement d’une énorme plateforme haute de 14 m, en bel appareil de pierre à bossage, technique apparue dans des cités grecques d’Asie Mineure hellénisée quelques décennies plus tôt seulement. C’est de ces régions que le roi perse a fait venir dans le Fars des artisans et architectes, après sa victoire sur le roi lydien Crésus, vers 547-545. Les constructions que porte cette terrasse, visible de loin, sont en briques crues ; elles sont postérieures à Cyrus et ne paraissent pas correspondre au plan d’un palais qui était sans doute le projet initial, car on ne connaît pas d’autre bâtiment sur le site qui aurait été la résidence royale. Seule cette partie, la plus facile à défendre sur le site, sera réoccupée au début de l’époque séleucide, puis encore à l’époque islamique ancienne.

Cette construction est le point culminant du site ; elle domine une enceinte en briques crues de plan polygonal qui couronne un arc de collines depuis le nord, franchit deux dépressions entre ces collines et est refermée au nord-ouest contre la plateforme. Cette enceinte, est bien visible sur les premières photos aériennes de 1935. L’espace intérieur de quelque 20 ha a été exploré entre 1999 et 2004.

LE JARDIN ROYAL

À mi-distance entre le tombeau de Cyrus et la plateforme en pierres, l’ensemble des cinq constructions à colonnes organisées autour d’un jardin, est interprété comme le quartier royal officiel. Le centre en est occupé par un jardin rectangulaire de près de 3 ha, défini par des canaux en pierre. Le rectangle extérieur mesure plus de 200 m de longueur et 162 m de largeur ; une extension au nord-ouest englobe le Palais P. Le rectangle intérieur, qui mesure 145 x 112,50 m, est divisé en deux parties égales par un autre canal. En restituant une allée NO-SE depuis le milieu du portique du Palais P, le jardin serait alors divisé en quatre parties. Dans cette hypothèse, on peut y voir l’ancêtre du chahār bāgh persan (« quatre jardins ») qui sera la marque des jardins du monde iranien, royaux ou nobles, jusqu’à l’époque moderne (Stronach 1989). Selon les recherches récentes, l’espace aménagé en parc est certainement plus vaste. Il s’étendait bien au-delà des deux constructions hypostyles à portiques et les deux pavillons également hypostyles, allant au moins jusqu’au cours d’eau aujourd’hui asséché vers la Porte monumentale à l’est. C’est en définitive toute la partie plane du site qui constituait le parc royal.

LES BATIMENTS AUTOUR DU JARDIN

La Porte monumentale, les deux « palais » S et R, et les deux petits pavillons sont disposés sur trois côtés du jardin central. Ils ont conservé la plus grande partie de leur sol en grandes dalles de pierre, une partie des bases de colonnes et certains encadrements de portes, en pierre soigneusement travaillée. Presque tout le reste, les murs en briques crues, les chapiteaux et les couvertures, probablement des plafonds portés par des poutres en bois, a disparu. L’architecture visible aujourd’hui correspond donc aux parties qui ont résisté au temps.

La Porte monumentale

L’accès à la partie centrale du site s’effectue depuis le sud-est à travers une porte monumentale isolée, mais qui n’est pas sur une enceinte, comme l’étaient les accès des palais néo-assyriens ou ceux de Babylone. Cette entrée symbolique, sans rempart, est une création perse que l’on retrouvera plus tard à Persépolis et à Suse. La Porte est un bâtiment rectangulaire qui comporte une seule salle de 26,40 x 22,20 m, à deux rangées de quatre colonnes, reposant sur une base carrée en pierre à deux degrés (aujourd’hui masquée par une protection de terre). Les deux passages principaux sont sur l’axe de l’accès, deux passages secondaires sur les longs côtés sont protégés par une petite salle de garde, construite postérieurement. De la décoration, il reste quelques fragments de sculptures en pierre de monstres gardant l’entrée, mais surtout un bas-relief sur un jambage de la porte nord-est qui représente un personnage portant une robe élamite, munie d’une double paire d’ailes à la manière assyrienne et coiffée d’une couronne hmhm égyptienne. Cette figure, appelée parfois le génie ailé, pour certains représenterait Cyrus lui-même. Une inscription nommant Cyrus placé au-dessus du relief a disparu depuis le milieu du 19e siècle.

Le Palais S

Placée au-delà de l’angle sud du jardin central, cette construction hypostyle à quatre portiques est celle qui montre le plus d’éléments de l’élévation d’origine, par l’une des colonnes de la salle centrale, ainsi que trois des antes, placées à l’extrémité des murs fermant les portiques, qui s’élevaient à plus de 6,50 m. Ces dernières sont monolithiques ; une seule a conservé l’inscription cunéiforme dans les trois langues de l’empire, vieux perse, élamite, accadien, la variante « Moi Cyrus, le roi, l’Achéménide ». La salle centrale rectangulaire mesure 32,35 x 22, 15 m. Sa couverture était portée par deux rangées de quatre colonnes, hautes de 13,10 m sans compter le chapiteau qui a disparu ; elles sont constituées de plusieurs tambours lisses en pierre blanche, reposant sur une base monolithique constituée d’une plinthe à deux degrés, mesurant 1,40 m environ de côté à la base, et d’un tore circulaire. Les éléments de chapiteaux retrouvés jadis par Ernst Herzfeld sont en pierre noire. Ils figuraient des protomes d’animaux opposés, typiques de l’art achéménide, lion, lion cornu, taureau, mais aussi cheval, cas unique dans l’architecture achéménide (Stronach 1978, 61-62).

Les bases des portiques sont carrées, mais beaucoup plus petites (0,56 m de côté), et portaient des colonnes certainement moins hautes que celles de la salle centrale. Le portique sud-ouest est de même longueur que la salle, 32,10 m, flanqué de deux salles d’angle ; il est porté par deux rangées de quatorze colonnes, dont peu de bases sont conservées. A l’opposé, le portique qui regarde le jardin occupe toute la longueur du bâtiment, environ 53 m, et compte deux rangées de vingt-quatre petites colonnes. Les deux autres portiques occupent l’espace entre les salles d’angle et le long portique. Technique de taille de la pierre et forme des bases de colonnes montrent ici encore l’intervention d’artisans ioniens. En revanche, la salle hypostyle est perse, forme évoluée d’une tradition iranienne attestée dans le Zagros dans les deux siècles précédents. Les jambages des portes de la salle centrale portent des bas-reliefs en pierre calcaire gris-noir, dont la partie haute a disparu. Ils rappellent la sculpture assyrienne ; l’un d’entre eux montre un personnage jambes nues suivi par un monstre debout aux pattes griffues ; un seul représente un homme vêtu d’une carapace de poisson, dont le corps d’écailles et la queue sont soigneusement rendus.

Le Palais P

Cette grande construction est sur l’axe du petit côté NO-SE du jardin central. Le plan d’ensemble est particulier dans l’architecture achéménide par la grande longueur des portiques. Le bâtiment, qui mesure 76 x 42 m, comprend une salle centrale, dont les dimensions sont très proches de la salle du Palais S (31,10 x 22,10 m). La couverture est portée par cinq rangées de six colonnes qui reposent sur une base carrée, de 1,14 m de côté. Celle-ci est constituée d’un premier degré bicolore, fait de deux dalles, l’inférieure en pierre noire, l’autre blanche, surmonté d’un second degré plus petit en pierre blanche, puis d’un tore à cannelures horizontales en pierre blanche, d’un travail très soigneux qui rappelle des bases de colonnes de temples de Grèce et d’Asie Mineure, en particulier le temple d’Artémis à Ephèse. Les colonnes subsistantes sont toutes limitées à un seul tambour. Par ailleurs, des fragments de plâtre peints de forme concave ont été trouvés dans la salle. C’est pourquoi on reconstitue des colonnes mixtes, un tambour en pierre blanche lisse sur la base, surmonté d’un fût en bois dont le diamètre était épaissi par une couche de plâtre recouvert d’un décor peint polychrome de spirales, parfois de losanges ou triangles allongés. Les bases de colonnes sont remplacées aux extrémités des petits côtés par de larges piliers(?) creux de plan rectangulaire en pierre, dont la fonction reste énigmatique.

La salle centrale est pourvue de deux portiques très débordants comptant deux rangées de douze et vingt petites colonnes respectivement. Les bases du portique nord-ouest sont également bicolores. Les espaces entre les deux portiques sont vides de constructions en pierre. La restitution de constructions en briques crues reste très hypothétique. Dans le long portique qui fait face au jardin, une seule ante est conservée et porte la même inscription que l’ante du Palais S nommant Cyrus. Au milieu du portique, une courte section de la banquette qui court sur le mur du fond est surélevée. Elle est interprétée comme le siège du roi. Quatre jambages de portes entre la salle centrale et les portiques portent un bas-relief en pierre gris-noir. La partie supérieure n’est pas conservée. Ils représentent la partie inférieure d’un personnage debout, sortant de la salle. Il porte une robe perse dont la décoration devait être soulignée par des bandes de métal -cuivre ou or ?- appliquées sur la pierre, comme l’indique une série de trous de fixation de rivets. Sur l’un est visible l’inscription, légèrement différente de celle des antes des Palais S et P, ici à la troisième personne « Cyrus, le grand roi, l’Achéménide ».

Les pavillons

Les deux pavillons édifiés au-delà des angles sud-est et sud-ouest du jardin central sont des constructions de plus de 20 m de côté que l’on restitue ainsi : une salle centrale à deux colonnes pour l’un, quatre pour l’autre, flanquée de deux portiques débordants à une rangée de quatre colonnes. Au sud du pavillon sud-ouest et près du Palais S, les vestiges d’un pont sur piles circulaires a été reconnu. Long de 15 m, il franchit le cours d’eau et, dans l’état de la fouille, il est situé presque dans le prolongement de l’axe de la Porte monumentale.

LE TOMBEAU DE CYRUS

Cette belle construction en pierre, en forme de maison érigée au sommet de sept degrés en retraits successifs depuis la base (13,35 x 12,30 m), s’élève à 11,10 m de hauteur. C’est le monument le plus connu de Pasargades (fig. 20). Sa destination, longtemps disputée, ne fait plus de doute, d’après les données archéologiques et les sources textuelles ; le monument est la tombe de Cyrus (†529 ap. J.-C.). Elle apparaît actuellement isolée dans un terrain dénudé, mais les sources classiques indiquent clairement qu’elle était environnée de verdure, un espace qualifié de « paradis » (grec paradeisos), au point qu’on peut se demander s’il n’était pas intégré dans le parc royal que l’on reconnaît aujourd’hui, dont le jardin central est distant de plus de 1200 m.

Techniques de construction et détails architecturaux du tombeau indiquent une influence de l’art hellénique d’Asie mineure. Ce monument a inspiré un satrape ou un personnage important qui a fait ériger à Sardes, sans doute à la fin du 6e siècle, un monument dont le socle à degrés, seul conservé, est très comparable à celui de Cyrus. Plus tard, à la fin de l’époque achéménide ou peu après celle-ci, un important personnage a fait ériger dans la région de Bishapur un tombeau très semblable à celui de Cyrus, mais plus petit et plus simple.

LA TOUR EN PIERRE DITE ZENDAN-I SOLAIMAN

L'énigmatique tour de 7 m de côté, localement appelée aujourd’hui Zendan-i Solaiman, est distante de plus de 200 m au nord-ouest du jardin, et de 400 m à l’ouest de la plateforme. Un seul côté est bien conservé, mais on connaît le plan complet qui peut être comparé à la tour presque identique, appelée Ka’ba-i Zardosht, qui fait face aux tombes royales rupestres à Naqsh-i Rustam près de Persépolis. Ce monument a résisté jusqu’ici à l’interprétation : parmi les hypothèses, tombe royale, temple, temple du feu, dépôt d’archives ou des symboles de la royauté, c’est cette dernière qui est la plus fréquemment retenue, sans pouvoir en apporter des preuves. Les recherches récentes ont montré qu’elle n’était pas une tour isolée, mais faisait partie d’ensembles de constructions (infra §).

LES "AUTELS"

À 1 km au nord-ouest de cette tour, séparés de l’ensemble des constructions connues par deux collines, deux cubes en pierre de plus de 2 m de côté ont également donné lieu à bien des hypothèses, parmi lesquelles prédominent celles d’autels doubles ou bien, plus souvent, celle d’un autel du feu et d’une estrade pour le roi ; ce dernier est en effet pourvu d’un escalier monolithique en pierre. L’hypothèse dérive des représentations des bas-reliefs qui surmontent les tombes rupestres royales achéménides de Persépolis et de Naqsh-i Rustam sur lesquels le roi debout sur une estrade à degrés lève la main vers un autel posé sur un socle sur lequel brûle le feu.

Un élément de la discussion doit être éliminé d’après les recherches récentes, celui d’une grande enceinte qui aurait englobé ces deux autels et une terrasse à degrés en briques crues à 120 m à l’ouest de ceux-ci.

Rémy Boucharlat (Maison de l'Orient et de la Méditerranée) / 2014
 
Plan schématique de Pasargades localisant les monuments visibles en surface.
La plateforme appelée Takht-i Solaiman, construction en pierres appareillées, de l'époque de Cyrus
Détail de l'appareil du Takht-i Solaiman. Les cavités correspondent au pillage des crampons métalliques pour en récupérer le plomb.
L'angle de la plateforme du Takht-i Solaiman
Plan de la partie centrale du site. Les constructions sont disposées dans un jardin ou un parc, D. Sronach, Mélanges Van den Berghe 1988, fig.2.
Le jardin royal est marqué par un réseau de canaux en pierres appareillées.
Le palais ''P'' appelé aussi ''palais résidentiel'' est une salle hypostyle rectangulaire à deux portiques très débordants.
Le palais ''S'' appelé aussi ''palais d'audience'', salle hypostyle à portiques.
L'enceinte polygonale, en briques crues, photo aérienne E.F. Schmidt 1935, OI Chicago
Le tombeau de Cyrus dans son état actuel.
Le tombeau de Cyrus en 1840 (dessin de Flandin et Coste)
Le tombeau de Cyrus, dessin fantaisiste de Mandelslo 1719, p. 8.
La tour appelée depuis le Moyen-Âge Zendan-i Solaiman (''la prison de Salomon'')
La tour appelée depuis le Moyen-Âge Zendan-i Solaiman, dessin Flandin et Coste, Voyage en Perse, vol. IV, pl. 200.
Axonométrie de la tour appelée Zendan-i Solaiman, reconstitution D. Stronach, Pasargadae 1978, fig. 66.
Les deux autels de Pasargades.
Vue en perspective des deux autels, D. Stronach, Pasargadae 1978, fig. 74.
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